Il s’agit d’une bouffée d’oxygène dans le secteur agricole de la République démocratique du Congo, depuis l’arrivée de l’ingénieur Grégoire Mutshail Mutomb à la tête de ce ministère vital. Dans sa rapace d’agronome, l’homme imprime une politique qui booste l’agriculture nationale pour déboucher une production industrielle qui attire les regards des investisseurs.
L’ingénieur Grégoire Mutshail Mutomb est jugé par ses actions menées au cours de ses cent premiers jours. Il s’agit d’une évaluation significative ayant pour objectif de repérer les bons et les mauvais départs afin de réajuster le tir en faveur d’une action agricole bien structurée et taillée sur mesure pour permettre au Chef de l’Etat d’imprimer sa vision partout en RDC dans ce deuxième quinquennat.
Effectuant les cent premiers pas, l’opinion nationale peut se faire une idée claire sur les performances et les défaillances dans le secteur agricole.
Alors qu’il participait au forum économique Chine-RDC, le ministre d’Etat, ministre de l’agriculture et sécurité alimentaire dans sa posture technocrate a présenté les potentielles que le pays de Félix Tshisekedi renferme dans le secteur agricole, un autre atout majeur que la RDC possède sur lequel les investisseurs peuvent se baser c’est la pluviométrie et sa terre arable.
Le projet “un hectare pour un étudiant”, par exemple, est une vraie tasse d’impulsion et une occasion de créer l’emploi des jeunes pour favoriser la production de masse.
Surnommé l’homme à la cravate verte, l’ingénieur Grégoire Mutshail Mutomb brille par les actions concrètes qui impulsent la dynamique et positionnent l’agriculture comme secteur clé pour la relance de l’économie congolaise et unité de création d’emploi pour la jeunesse.
Les premiers cent jours sont considérés comme l’entrée en lice d’un ministre rénovateur qui va changer la donne, qui s’exprime par les actions qui touchent les horizons et qui mérite le surnom du père de l’agriculture industrielle en RDC.